Le printemps est là et les pollens de bouleau sont de sortie et se répandent dans l’air comme les oeufs de Pâques !
Ils gêneront les allergiques sur un grand quart nord-est du pays avec un risque élevé. Le risque d’allergie sera faible à moyen sur le reste du pays pour ces pollens de bouleau. Les pollens de charme (qui sont de la même famille que les bouleaux) et les pollens de frêne sont très abondants dans l’air avec un risque d’allergie qui évoluera entre le niveau faible et le niveau élevé selon les départements. Durant cette période, la pollution atmosphérique pourra modifier le seuil de sensibilité des allergiques aux pollens et exacerber les symptômes en fragilisant notamment les voies respiratoires.
Rhinite, conjonctivite, asthme…
Certains pollens (par exemple les pollens issus des bouleaux, des graminées, des cyprès ou de l’ambroisie) provoquent, au contact avec les yeux ou les voies respiratoires des réactions plus ou moins invalidantes :
- Crises d’éternuement
- Nez qui gratte, parfois bouché ou qui coule clair
- Yeux rouges, qui démangent ou qui larmoient
- En association éventuelle avec une respiration sifflante ou une toux
En cas de gêne répétitive et saisonnière liée à ces symptômes et dans un contexte de fatigue inhabituelle, vous souffrez peut-être d’une allergie aux pollens. N’hésitez pas à consulter votre médecin traitant notamment si les symptômes persistent.
Vous travaillez à l’extérieur ?
- Pensez au port de lunettes de protection et masque
- Dans le véhicule, roulez fenêtres fermées
- Le soir, avant de vous coucher, douchez-vous et rincez cheveux (barbe) afin de ne pas déposer de pollens sur votre oreiller.